Lors de l’ouverture officielle de l’initiative qui a été accueillie dans le siège prestigieux de l’Université de Bejaïa, le Ministre de la Communication, Abderrachid Boukerzaza, le Wali de Bejaïa, Rachid Fatmi, le Président de l’APW, Hamid Farhat, et le Recteur de l’Université de Bejaia, Merabet Djoudi, ont souligné l’importance de cette activité en tant que modèle de coopération à retenir. En cette occasion, les participants ont reçu un encadrement théorique sur le sujet choisi qui a été introduit par M. Ghouti du Ministère du Tourisme Algérien et par M. Poeta du Centre d’Etudes Supérieurs sur le Tourisme (Italie), lesquels ont illustré respectivement le processus de valorisation du tourisme dans le territoire algérien et les outils principaux de la communication touristique.
Le résultat final du travail effectué sur le terrain a été un documentaire TV de 52 minutes en mesure de synthétiser les 10 reportages réalisés portant sur l’histoire, les héros, les légendes, les langues, l’environnement, l’économie qui caractérisent la région de Bejaïa. A coté des travaux des équipes télé, trois équipes radio ont été mises en place et ont produit trois documentaires radiophoniques. L’encadrement radio a reposé sur la contribution de Radio France, de Radio Montecarlo Doualiya et de Radio Soummam (Bejaïa).
Un blog dédié à l’Université de la COPEAM 2008 et ouvert à tous les jeunes professionnels est en ligne (www.uni-copeam.org).
THEY SAID ABOUT US – ILS ONT DIT DE NOUS:
(…)En effet la présence d’une quarantaine de professionnels originaires de douze pays qui doivent boucler en sept jours un programme de radio et un programme de télévision conduit à une collaboration entre eux d’une intensité majeure. Une collaboration qui les oblige à dépasser leurs craintes, leurs préventions, leurs réserves et à réellement échanger entre eux pour aboutir. J’ai constaté que cet objectif avait conduit ceux qui me paraissaient au départ les plus réservés à se détendre et à communiquer malgré les barrières linguistiques ou les interrogations culturelles. Et j’ai constaté que le fait d’aboutir, de proposer un programme de cinquante deux minutes, quels que soient les défauts ou les imperfections de ce programme, produit une satisfaction qui efface les dernières préventions et rapproche véritablement les individus qui ont participé. Malgré les difficultés, malgré la brièveté des délais, malgré les accidents de parcours, malgré la barrière des langues, malgré les différences culturelles, c’est possible.
Par son intensité extraordinnaire, je considère cette expérience comme très importante, différente certes, mais dans la lignée de celle que j’ai vécue pendant des annéesau sein de l’équipe de Mediterraneo.
J’ai le sentiment personnel d’avoir pu, en quelques jours, nouer avec les participants et l’équipe de logistique et d’encadrement des liens qui ont un sens.
Il faut remercier pour cela la Copeam et l’ENTV.
Sampiero Sanguinetti (Expert CFI – France)
J’ai le sentiment personnel d’avoir pu, en quelques jours, nouer avec les participants et l’équipe de logistique et d’encadrement des liens qui ont un sens.
Il faut remercier pour cela la Copeam et l’ENTV.
Sampiero Sanguinetti (Expert CFI – France)
Cette Université de la COPEAM, m’a permis, nous a permis, une fois de plus de rencontrer des gens fantastiques: la richesse humaine du pourtour Méditerranéen s’était donné rendez-vous à Bédjaïa en ce mois d’avril.Cette Université a surtout démontré qu’il y a plus de choses qui nous réunissent que de choses qui nous séparent, et que quel que soit le langage dans le lequel on s’exprime, quel que soit la culture dont on est issu, quel que soit ses croyances, une œuvre collective peut surgir, il suffit juste de le vouloir, et de lui donner les moyens d’exister.
Abdelaali JOUDI (Expert CFI – France)
The experience in Bejaia was for me the best that can happen,its uniqueness has absolutely elevated the standard of my work. Besides,you know what really enhanced the limit of learning?
Team work,yes indeed. I believe that without it we can’t establish a good relationship with each other on the level of colleagueship, neither we won’t on the professional one, and it will be not possible then to present a good substance on both levels.
Team work,yes indeed. I believe that without it we can’t establish a good relationship with each other on the level of colleagueship, neither we won’t on the professional one, and it will be not possible then to present a good substance on both levels.
Nouf Ahmad – Participant – Jordan
My experience with the 4th Edition of the COPEAM University is astonishing and I can’t find the suitable words to describe it. When I remember Bejaia I remember a big story written just in one week with all its scenes, protagonists, decors, scenarios.
So I would like to say thank you to both Algerian Television & COPEAM.
Fayez Abdelafiz – Participant – Palestine